Il faisait beau le 25 février 2009 aux alentours de 15.00, armés du D200, les Renards sont de sortie. Nous descendons tranquillement les rues du village, Le Renard commence à mitrailler un lavoir, la Renarde donne son avis et des conseils.
Les lignes des vieux murs ne sont pas droites même en corrigeant avec un logiciel de retouche d'image.
Reflets d'une bâtisse.
Rencontre avec un greffier pas du tout perturbé par les deux renards. Le renard est pourtant beaucoup plus grand que le greffier, un géant ce renard !
Une sortie d'évier pour évacuer les eaux usées
Signes musicaux ?
La voie unique.
La renarde a vu deux voies différentes filant côte à côte dans une même direction.
Le renard et la renarde ont continué leur chemin. C'est alors que le renard fut fasciné par le prince de la basse-cour : un paon. Ce dernier ignora, que dis-je ! Méprisa les deux goupils qui passaient par là. Le renard jeta alors son dévolu sur un coq fier comme un paon.
Mais nos deux goupils avaient bien déjeuné, ils passèrent leur chemin sans toucher aux volailles et arrivèrent près d'une ferme quelque peu abandonnée. Ils découvrirent un étrange alignement de vieux fers à cheval tournés vers le ciel pour repousser le diable.
Ils trouvèrent un autre alignement d'une vingtaine de fers rouillés
qui semblaient former de petites portes cassées et disposées à cheval
sur une tôle.
La renarde laissait aller son imagination... ça n'étaient que des vieux fers usagés.
Ils continuèrent lentement leur chemin et Renard perçut un bruit
familier venant de derrière une porte. Il ne put résister à l'appel de
l'eau. Il poussa la porte au fermoir rouillé et découvrit un autre
lavoir. Renarde entra à son tour dans la bâtisse.
La renarde se mit assise sur le rebord du lavoir et le renard prit quelques clichés mais il les garda jalousement cachés, et les mit dans une boîte secrète au fond du terrier.
Ils sortirent du lavoir et continuèrent à arpenter les rues du village, observant ça et là les vieilles pierres.
"Mais où mène donc cette porte," se demanda Renard.
"Elle donne sur un jardin abandonné," lui répondit Renarde.
Renard, curieux, aurait bien voulu passer de l'autre côté mais la porte était fermée à clé.
Il aurait voulu satisfaire sa curiosité en regardant par au-dessus du mur mais c'était trop haut.
Renarde avança et lui indiqua une brèche. Ils passèrent leurs deux têtes et à travers un entrelacement de branches, ils découvrirent un tapis de fleurs qui leur rappela que l'arrivée du printemps allait bientôt pointer le bout de son nez.
Renarde insista pour en voir plus et se pencha d'avantage.
Heureux d'avoir satisfait leur curiosité et partagé ce moment de bonheur, ils continuèrent leur chemin. Ils allèrent saluer les juments comtoises.
Renarde regarda les robes des juments et les compara à celle des renards.
Elle était fascinée par la blondeur des crinières.
L'après-midi avançait, la promenade se terminait. Renard fit encore quelques clichés.
Un couple de pigeons postés à la sortie du pigeonnier.
Et la promenade se termina sur une vieille fenêtre aux vitres percées et couvertes de toile d'araignées.